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lllustrations se rapportant exclusivement aux
descendances de deux frères nés peu avant
la Révolution de 1789.
 
     
La descendance de Louis-Augustin (1779 - 1807), fils de Jacques et
de Marie Roque, mariés en 1757 à Saint-Frézal de Ventalon,
et frère cadet de Jacques (SFV / CAS)
 


 En 1902, à Nîmes, mariage d'Elie (1877 - 1951), fils d'Alphonse (1853 - 1929) et de Marie-Louise Maroyer, sa première épouse. Doivent être présents sur la photo, d'une part, Alphonse, ledit père d'Elie, et, d'autre part, son cousin Félix (1874 - 1916) et son épouse, Marie-Sophie Andrieu, parents d'Henri (1900 - 1962). Les enfants des mariés seront Antoinette (1903 - 1997) et Marceau (1906 - 1987) (SFV / CAS, Vi-Al)

 


 En 1908, à Bordeaux (Gironde), Elisa-Caroline Ausset (vers 1840), épouse depuis 1862 d'Adrien (1831 - 1917), instituteur, auprès de ses deux petites-filles, Marguerite (1899 - env. 1995) et Thérèse (1900 - env. 1979), filles d'Aristide (1872 - 1962) et d'Alice Sicard (SFV / CAS, Ma).

 


Vers 1914, quelques-uns des enfants d'Aristide (1872 - 1962) et d'Alice Sicard: (de gauche à droite) Jean (1902 - 1941), environ 12 ans - il épousera, en 1927, Claude Durand-Gasselin -, une inconnue, Thérèse (1900 - env. 1979), Marguerite (1899 - env. 1995) - elle épousera, en 1944, Louis Jardin -, une inconnue. Le petit garçon, au premier plan, est Jacques (1902 - 1961), qui épousera, en 1932, Liliane Gérard. Le cinquième enfant du couple, Henri (1912 - env. 1995), n'est pas présent. Les deux filles aux robes écossaises ne sont pas connues (SFV / CAS, Ma).

 


Le 5 mars 1916, à Bordeaux (Gironde), la famille d'Eugène (1877 - 1965), fils d'Adrien (1831 - 1917) et d'Elisa-Carline Ausset, mariés en 1862, et frère d'Aristide (1872 - 1962). Sergent au 89e régiment territorial (et instituteur), il est présent, sur la photo, auprès de sa femme, Léa Lockert, mariés vers 1900, et de tous leurs enfants, à savoir Hélène (1903 - 1995), Suzanne (1906), Maurice (1908 - 1995) - qui tient la main de son père -, Philippe (1910 - 1936) et Francis (1912 - 1989) (SFV / CAS, Ma).

 


En 1919, Georges (1890 - 1963), fils d'Isidore-Léon (1844) et de sa  première épouse Marie-Louise Saix, et Elise Monier, l'année même de leur mariage (SFV / CAS, Vi-Is).

 


Mariage à Nîmes, en 1923, de deux cousins, à savoir Henri (1900 - 1962), herboriste - au centre de la photo -, fils de Félix (1874 - 1916), "mort pour la France", et de Marie-Sophie Andrieu, d'une part, et d'Antoinette (1903 - 1997) - à la gauche du marié -, fille d'Elie (1877 - 1951). Ce dernier, placé derrière sa fille, est entouré, à sa droite, par sa femme, Suzanne Driol, et à sa gauche, par le couple formé de Marceau (1906 - 1987), frère de la mariée, et d'Henriette (1898 - 1995), sœur du marié (SFV / CAS, Vi-Vi, et SFV / CAS, Vi-Al).

 


Vers 1935, mariage de Suzanne (1906), fille d'Eugène (1877 - 1965) et de Léa Lockert, et de Pierre Julien. On voit sur la photo l'oncle de la mariée, le général, Aristide (1872 - 1962), sa femme Alice Sicard et, devant lui, à sa droite, son frère Eugène, père de la mariée, ainsi que Léa Lockert. On reconnaît aussi les frères et sœur de la mariée, à savoir Maurice (1908 - 1995) et sa femme Odette Deffarge, à la droite des mariés, ainsi que Philippe (1910 - 1936), Hélène (1903 - 1995) et Francis (1912 - 1989) (SFV / CAS, Ma).

 


Le 1er novembre 1936, Francis (1912 - 1989), fils d'Eugène (1877 - 1965) et de Léa Lockert, qui épousera, en 1947, Marie Hérengt, de Lille (SFV / CAS, Ma).

 


Vers 1940, Maurice (1908 - 1995), fils d'Eugène (1877 - 1965) et de Léa Lockert, son épouse Odette Deffarge - ils se sont mariés en 1934 -et leurs enfants, Jean-Jacques (1937), Alice (1936) et Simone (1935) (SFV / CAS, Ma).

 


Vers 1941, au Jaïle, Eugène (1877 - 1965) et son épouse Léa Lockert, mariés vers 1900, avec leurs enfants et petits-enfants. En haut, de gauche à droite, une inconnue, Pierre Julien et sa femme Suzanne (1906), puis Eugène. En bas, de gauche à droite, Alice (1936), Paulette Julien et le chien, Maurice (1908 - 1995), tenant son fils Jean-Jacques (1937), Léa Lockert, Simone (1935), Hélène (1903 - 1995), sœur dudit Maurice (SFV / CAS, Ma). 

 


En 1975, à Riffaut, Maurice (1908 - 1995) et son épouse Odette Deffarge, au centre en haut, entourés de leurs enfants et petits-enfants. En haut, de gauche à droite, Catherine Larthomas (épouse de Georges, 1946), Georges Couderc (mari d'Alice, 1936), un inconnu, Maurice (1908 - 1995) et son épouse Odette Deffarge, Jean-Claude Pouyanne (époux de Simone, 1935), Georges (1946). En bas, de gauche à droite, Anne Couderc et Karine Larthomas, Alice (1936), Florence Couderc, Claire Larthomas, Annie Larthomas (femme de Bernard, 1942) et Gilles (1972), Simone (1935) et Mathilde (1970), Hélène Couderc, Sandra Larthomas, Isabelle Pouyanne (SFV / CAS, Ma).

  

La descendance de Jacques (1764 - 1850),
fils de Jacques et de Marie Roque,
mariés en 1757 à Saint-Frézal de
Ventalon, et frère aîné de Louis-Augustin
(1779 - 1807) (SFV / MAN)

 


Vers 1915, au Vigan, Adrien (1853 - 1926), fils de François (1831 - 1900) et de Rosalie Mandagout, son épouse Marie Euzière (1858 - 1939) - en fait une Elzière -, mariés en 1877 au Vigan, et trois de leurs quatre filles. De gauche à droite : Marie (1883 - 1966), Rose (1895 - 1978), Marthe (1885 - 1938), la quatrième, Aurélie (1898 - 1949), étant absente. Les quatre garçons, à savoir Adrien (1878 - 1942), Elie (1881 - 1954), Louis (1889 - 1942) et Raymond (1892 - 1954) sont alors à la guerre, ou prisonniers en Allemagne (SFV / MAN, Fr).

 
 
Adrien, berger se louant à la journée et travaillant dans le secteur d'Aulas, Mandagout, Molières-et-Cavaillac et Roquedur-le-Haut, devint sourd à 18 ans, en gardant les moutons, soit vers 1871, quelques années seulement avant de se marier, à 24 ans, avec Marie Euzière, une cousine (en fait une Elzière). Pour dormir, il ne disposait point de matelas, mais simplement d'une toile bourrée de feuilles de maïs. Très gentil, très serviable - c'était en fait un saint -, il eut 9 enfants, dont 8 restèrent en vie (4 garçons et 4 filles). Sa femme, très méchante - les claques pleuvaient -, ne savait ni compter, ni lire, ni écrire. Elle travaillait à l'usine de soie de L'Elze, près du Vigan (Gard). Dans cette contrée farouche où il fallait arracher la moindre parcelle de terrain à la terre, les deux époux, Adrien et Marie, frustres et pauvres, parlaient le patois - la langue alors la plus utilisée, qu'ils maniaient davantage que le français -, étaient durs à la besogne, pour eux comme pour les autres, et faisaient montre d'une grande soumission envers leurs patrons, doublée d'un certain fatalisme. Ils subissaient le joug comme cela, sans avoir aucunement idée de se révolter. Vers 1900, la famille avait un troupeau et, pour survivre, élevait le vers à soie dans une grande pièce. Puis, bientôt, tous les fils, Louis, le garçon de café de Montpellier, et les autres durent partir à la guerre. Raymond, le cadet, fut retenu en captivité en Allemagne pendant les longues années de la guerre, avant d'être coiffeur à Villeurbanne, vers Lyon. Une des filles de la famille, Marthe, fut une femme extraordinaire. Très intelligente, d'un mysticisme poussé à outrance et capable de tout faire, elle créa même une maison de couture au Vigan, sans rien avoir appris. Une de ses sœurs, Aurélie, fut mise au couvent à Nîmes, contre sa volonté, à la suite d'un vœu familial (d'après des conversations tenues en 1979 avec Georges Verdier, né vers 1910, fils de Marie et petit-fils d'Adrien, et en 1999 avec Anna Gras, femme de Charles, lui-même aussi petit-fils d'Adrien).
 
 


Vers 1915, sans doute au front, Adrien (1878 - 1942), fils d'Adrien (1853 - 1926) et de Marie Euzière. Marié à Marie Barral, il est père d'Henri (1907), En bas, 2e à gauche (SFV / MAN, Fr).

 

  
Vers 1915, un des quatre frères, Elie (1881 - 1954), marié, en 1907, au Vigan à Jeanne Martin et père de Charles (1907 - 1993), ainsi que de Reine (1911 - env. 1987). Le même, bien plus tard (SFV / MAN, Fr).

  

En 1910, à Montpellier, le garçon de café Louis (1889 - 1942), fils d'Adrien (1853 - 1926) et de Marie Euzière (1858 - 1939). Il épousera, en 1913, au Vigan Cécile Veyzinet, d'où Yvette (1921 - 1995), mariée, en 1943, à Julien Martin
(SFV / MAN, Fr).
  

     Pendant la Grande Guerre, ou peu après, Louis (1889 - 1942), fils d'Adrien (1853 - 1926), le plus à gauche sur chacune des photos. L'une avec son casque ("Souvenir de la campagne de 1914-16"), l'autre décoré de la croix de guerre (SFV / MAN, Fr).

 


Vers 1916, Louis (1889 - 1942), fils d'Adrien (1853 - 1926), devant un poste de police. Avant-dernier, en haut à droite (SFV / MAN, Fr).

 


En 1913, le chasseur alpin Raymond (1892 - 1954), fils d'Adrien (1853 - 1926). Il épousera, en 1919, Catherine Genestier, d'où Roger (1925). "Je souffre beaucoup au régiment". Tenue noire (SFV / MAN, Fr).

 


Vers 1913, le chasseur alpin Raymond (1892 - 1954), fils d'Adrien (1853 - 1926). Tenue blanche. Au centre, entre deux (SFV / MAN, Fr).

 


Vers 1915, en Allemagne (Bavière), le prisonnier de guerre Raymond (1892 - 1954), fils d'Adrien (1853 - 1926), pris le 19 mars 1915 au Reichackerkopf, près de Munster (Alsace), et tenu en captivité à Eichstätt (Bavière) (SFV / MAN, Fr)
.

 


En 1915, lors de la récolte du houblon en Bavière, dans le cadre d'un commando agricole, le chasseur alpin prisonnier de guerre Raymond (1892 - 1954), fils d'Adrien (1853 - 1926). Allemagne (secteur d'Eichstatt / Ingolstadt, Bavière). "Houblon, 1915". Le deuxième en bas à gauche (SFV / MAN, Fr).

 


Vers 1920, Raymond (1892 - 1954), fils d'Adrien (1853 - 1926) (SFV / MAN, Fr).

    

 


Vers 1920, Raymond (1892 - 1954), fils d'Adrien (1853 - 1926), et sa femme, Catherine Genestier, épousée en 1919 (SFV / MAN, Fr).

 


Vers 1920, Louis (1889 - 1942) et son frère cadet Raymond (1892 - 1954), fils d'Adrien (1853 - 1926), auprès de leurs épouses, Cécile Veyzinet et Catherine Genestier (SFV / MAN, Fr).

 

Vers 1915, Louis (1889 - 1942), fils d'Adrien (1853 - 1926), et son épouse Cécile Veyzinet (SFV / MAN, Fr).
 
 

Vers 1928, groupe familial, avec, au premier rang, à gauche, Catherine Genestier, femme de Raymond (1892 - 1954) et Roger (1925), son fils. En haut, au milieu, Anna Gras, femme de Charles (1907 - 1993) (SFV / MAN, Fr).
 


En 1928 / 1929, Charles (1907 - 1993), fils d'Elie (1881 - 1954) et de Jeanne Martin, mécanicien "d'un capitaine", lors de son service militaire sur la base aérienne d'Istres (Bouches-du-Rhône). Avant-dernier à droite. L'appareil est un biplan Nieuport-Delage 29 (SFV / MAN, Fr).

 


En 1932, à Arles (Bouches-du-Rhône), mariage de Charles (1907 - 1993), fils d'Elie (1881 - 1954) et d'Annette Gras. D'où Annie (1948) (SFV / MAN, Fr).

 


En 1934, à Roquedur (Gard), mariage d'Henri (1907), fils d'Adrien (1888 - 1942) et de Marie Barral, et de Denise Domergue († 1999). A la droite du marié, assis au premier rang, ses parents, Adrien et son épouse, Marie Barral, puis, complètement à droite de la photo, Marie Euzière (1858 - 1939), sa grand-mère, avec, au-dessus d'elle, tout près de l'arbre, Charles (1907 - 1993), cousin du marié, et son épouse Anna Gras. Sous ces derniers, Reine (1911 - env. 1987), sœur de Charles, et Marcel Vassas, son futur mari. Elie (1881 - 1954) et sa femme, Jeanne Martin, père desdits Charles et Reine, ne semblent pas avoir été invités (SFV / MAN, Fr).

 


Vers 1934, Marie Euzière (1858 - 1939), fille de François et de Virginia Valette - en fait une "Elzière" dont le nom a été tronquée -, veuve d'Adrien (1853 - 1926) et mère de sept enfants (4 filles, 3 garçons). Elle a le même regard que son fils Adrien (1878 - 1942) (SFV / MAN, Fr).

 


En 1934, à Sumène (Gard), mariage de Germaine (1906 - 1998), fille de Théophile (1876 - 1959) et de Valérie Salendres (1882 - 1973), et de Fernand Ducros († 1993). A l'extrême droite, Théophile, père de la mariée et mineur de fond, avec, à sa droite, sa femme. Pierre (1912 - 1973), frère de la mariée, est de suite à gauche de cette dernière (SFV / MAN, Jo).

 


Vers 1945, Théophile (1876 - 1959), ancien mineur de fond (de 1900 à 1930), devant la mine de charbon de Sounalou (en fait "Soulanou"), à Sumène (Gard), qu'il doit aider à remettre en marche à la fin de la seconde guerre pour y avoir déjà travaillé avant de rejoindre, pendant la guerre de 14 / 18, celle de La Levade, vers Aubenas (SFV / MAN, Jo). Théophile, fils de Joseph (1845) et de Marie Deleuze / Abric, s'était marié, en 1906, avec Valérie Salendres (1882 - 1973), d'où Germaine (1906 - 1998) et Pierre (1912 - 1973).

 


Vers 1948, de jeunes mariés, Roger (1925), fils de Raymond (1892 - 1954), et son épouse Marie-Josèphe Roffat (1928 - 1996), dite "Majo". D'où Pierre (1949), Jean-Bernard (1950), Annick (1953), Chantal (1953) et François (1960) (SFV / MAN, Fr).

 


Vers 1958, Marie-Josèphe Roffat (1928 - 1996), dite "Majo", épouse de Roger (1925), et ses enfants Pierre (1949), Jean-Bernard (1950), Chantal (1953), Annick (1953) (SFV / MAN, Fr).

 


Le 1er juillet 1977, à Champ-Fleury (Limas, Rhône), Roger (1925), son épouse Marie-Josèphe Roffat (1928 - 1996), dite "Majo", et leurs cinq enfants, François-Dominique (1960), Chantal (1953), Jean-Bernard (1950), Annick (1953) et Pierre (1949) (SFV / MAN, Fr).

 


Le 17 février 1985, à Lachassagne (Rhône), huit Elzière, à savoir Roger (1925), ses fils François (1960), Pierre (1949), Jean-Bernard (1950), et ses petits-fils Florent (1975), Arnaud (1979), Patrice (1973) et Thibaud (1979) (SFV / MAN, Fr).

 


Le 1er août 1983, à Lachassagne (Rhône). En haut, de gauche à droite, Jean-Bernard (1950), son épouse Catherine Dejean (1953), dite "Cathy", François (1960), Chantal (1953), Anne-Marie Gervait (1946), femme de Pierre, Annick (1953) et Pierre (1949). En bas, Maya (1980), Thibaud (1979), Florent (1975), Patrice (1973), Arnaud (1979), ? (SFV / MAN,Fr).

 


Le 1er juillet 1993, au Vieux-Cep (Limas), autour de Roger (1925) et de Marie-Josèphe Roffat (1928 - 1996), dite "Majo", leurs enfants, quelques-uns de leurs petits-enfants, ainsi que la famille élargie, essentiellement du côté des sœurs de Majo : Suzanne, Madeleine et Renée (SFV / MAN, Fr).

 


A Noël 1995, Roger (1925), son épouse Marie-Josèphe Roffat (1928 - 1996), dite "Majo", mariés en 1948, et leurs cinq enfants François (1960), Chantal (1953), Jean-Bernard (1950), Annick (1953) et Pierre (1949). Dernière photo de la famille au complet (SFV / MAN, Fr).  

 
 

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