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Vers 1908, Nathalie (1886) et Lydie (1888), filles de Casimir (1855
- 1939), couturières au Collet-de-Dèze (Lozère). Toutes deux vêtues
de noir, respectivement debout à droite et derrière la machine à coudre,
elles sont ici auprès de leurs ouvrières (SMD / LCD).
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Vers 1910, Georges (1890 - 1963), fils d'un second mariage d'Isidore-Léon
(1844) avec Marie-Louise Saix, travaille alors à Nîmes dans la confection,
à la bonnetterie Tirard. Avec son frère Alcide (1883 - 1966), il donne
des spectacles d'échelle libre, de jonglage et de prestigiditation,
à Montpellier, dans le groupe des comédiens "Vroum's" (Comedian juggler's)
(SFV / CAS, Vi-Is).
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En 1923, à l'école de gendarmerie de Toul, Albin (1900 - 1982), fils
de Léonce (1868 - 1928) (SFV / CAS, Vi-Adr).
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Vers 1928, Antoinette (1903 - 1997), fille d'Elie (1877 - 1951) et de
Suzanne Driol. Infirmière civile ayant obtenu son diplôme de sage-femme
en 1924, elle deviendra sourde vers 1940 et exercera encore pendant
la Seconde Guerre Mondiale. En haut à droite de la photo (SFV / CAS,
Vi-Al).
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Vers
1935, à Villeurbanne (Rhône), en-tête du papier à lettre du coiffeur
Raymond (1892 - 1954), fils d'Adrien (1853 - 1926) (SFV / MAN, Fr).
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En 1939, à Blida (Algérie), Elie (1920), "artilleur de montagne"
au 65e Régiment d'Artillerie d'Afrique (RAA) (SEV / LU).
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Vers 1945, Aurélie (1898 - 1949), fille d'Adrien (1853 - 1926) et de
Marie Euzière (1858 - 1939), clarisse à Nîmes, sous le nom de "sœur
Elisabeth" (SFV / MAN, Fr).
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La notice nécrologique conventuelle d'Aurélie, clarisse à Nîmes, sous
le nom de "Sœur Elisabeth", rapporte que celle-là est "née le 7 avril
1898 à Roquedur (hameau de la montagne cévenole, arrondissement du Vigan).
Petite-fille, elle fut portée sur les fonts baptismaux et reçue alors
le joli prénom d'Aurélie. Dernière née de 12 enfants. Surnommée, dans
son village, Le petit coq . Son père était frappé de surdité. Maîtresse
d'ouvrage, puis infirmière. Elle prit le voile à 32 ans, le 8 décembre
1930, au monastère Sainte-Claire, au couvent des Clarisses, 34 rue Brunswick,
à Nîmes. Par rapport à la discipline, ses débuts furent difficiles.
Plus douée pour l'action que pour la contemplation. Sa prière favorite
fut le chapelet. On l'appelait le "Petit Capitaine". Cuisinière, puis
sacriste. Décédée le 3 novembre 1949, à 10 heures du soir, à l'âge de
51 ans. Elle est enterrrée au cimetière de Nîmes (carré C8)".
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Vers 1945, Arnold (1928), fils de Roger (1900 - 1974). "A mon oncle
que j'aime beaucoup. Son neveu. Arnold Elzière, caballero en plaza"
(SAL / BRA).
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Vers 1950, Arnold (1928), fils de Roger (1900 - 1974) et torrero à cheval
sous le nom de "Manolo del Campo". Photo Dumoulin (SAL / BRA).
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Vers 1950, Marcel Vassas, propriétaire du restaurant "Le Cévenol", à
Alzon (Gard). Marié, en 1937, à Reine (1911 - env. 1987), fille d'Elie
(1881 - 1954) et de Jeanne Martin (SFV / MAN, Fr).
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Vers 1950, étiquette professionnelle d'herboristerie médicinale "de
première classe" d'Henri (1900 - 1962), fils de Félix-Henri-Alphonse
(1874 - 1916), "mort pour la France" (SFV / CAS, Vi-Vi).
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Vers 1950, carte de visite de l'infirmière civile Henriette (1898
- 1995), fille de Félix-Henri-Alphonse (1874 - 1916), "mort pour la
France". "Mme Elzière. Sage-femme. Consultation. Vaccination. 23 rue
de l'Horloge, à Nîmes" (SFV / CAS, Vi-Vi).
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Vers 1950, réception de la médaille militaire par André (1902 - 1997),
gendarme à cheval, fils de Léonce (1868 - 1928). Il s'était marié, en
1929, à Juliette Barbusse († 1977). Sans enfant (SFV / CAS, Vi-Adr).
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Vers 1953, réception de la médaille militaire par André (1905 - 1992),
gendarme (à partir de 1932), fils d'Alphonse (1853 - 1929) et de sa
seconde femme, Anna Trives. De Jeanne Camp, épousée en 1927, il a eu
Odette (1928), Max (1936), Renée (1939), Sylvette (1943) et Chantal
(1947) (SFV / CAS, Vi-Al).
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En 1963 / 1964, à Bossaugoa (Centrafrique), Jacques (1923 - 1999), prêtre
(depuis 1949) et fils de Fernand (1891 - env. 1958). A gauche sur la
photo (UZ / AR).
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Jacques,
curé de La Baume d'Hostun Drôme) à la fin de son ministère, s'était
engagé, pendant la seconde Guerre mondiale, comme "volontaire" dans
des chantiers de jeunesse (système paramilitaire, sans armes), sous
la conduite de Jacques Materne, en fait membre de l'Armée secrète. Quand
les Américains débarquèrent en mai 1944 en Provence, étant à Avignon,
il s'engagea alors dans la 1ère armée "Rhin et Danube" du général de
Lattre de Tassigny, dans le "train" (des équipages), non dans le "génie".
Il se rendit alors en forêt Noire et dans le Palatinat. Ordonné prêtre
en 1949 à la cathédrale de Valence, il attrapa bientôt une grave maladie
pendant son séjour en Centrafrique, entre 1960 et 1966, qui lui rendra
la vie impossible jusqu'à la fin de ses jours (obligation de dire la
messe assis, etc.). Il s'agissait d'une atteinte "rickettienne" (?)
des membres inférieurs (bacille encrassant les artères), différente
de la sclérose en plaque sur l'axe cérébrospinal qui atteint, pour sa
part, les membres supérieurs. A la fin de ses jours, Jacques ne pouvait
plus rien écrire, ni signer. 1999 a été l'année de son jubilé ... et
de sa disparition.
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Vers 1980, Robert (1930), fils de Marceau (1906 - 1987), mari (depuis
1951) de Micheline Bonnefoy et père de Catherine (1953), Claudine (1955)
et Richard (1955), jumeaux . Quel sportif ! (SFV / CAS, Vi-Al).
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